De tous ces êtres que j’ai côtoyé tu as sans doute été celui qui m’a le plus bousculé. Peu importe le mal fait ou dit, la femme qui est en moi rejaillit toujours lorsque ta voix résonne à mon oreille. Tu pourrais me parler de la pluie ou du froid que je serai quand même brûlante. Le chant de tes mots réchauffe instantanément mon être. Il brûle de désir, de passion, d’inachevé. Pourtant à chaque fois que je te souris c’est mon coeur qui saigne un peu plus encore et se déchire lentement.
Je me suis projetée dans ce que je pensais être de bonnes choses pour finalement heurter un mur. Quelle est la limite entre l’espérance et l’attente? Je pensais n’avoir aucune des deux en moi après avoir eu tant de souffrances mais à croire que je te mentais et à moi aussi ! Et pourtant, je n’ai plus cette attente de choses impossibles, de projets fous, de mots tendres ou d’actes torrides; j’ai simplement l’envie de profiter de chaque instant comme il se présente. Et ça je sais que c’est la réalité malgré mon coeur qui se sert quand tu t’éloignes.
Je me sens comme un bateau amarré au large traversant les tempêtes, les vents et la houle, ballotée de droite à gauche, baignée d’eau salée et d’amertume; mais toujours attachée, oui attachée, ancrée.
Bonjour joana je viens de vous découvrir car des questions profonde sur moi me surmege j’ai donc chercher sur internet pour une therapie de couple. Et je clic sur en premier ce texte ancrée et la je suis toucher. A l’instant même où j’ai lu c’est comme si moi j’écrivais ce magnifique texte qui m’a littéralement bouleversée !!! La puissance de votre texte a réveiller en moi une confirmation de ce que je ressens vraiment mais aussi la douleur que je souhaiterais faire disparaître merci
Bonjour Guenola, votre commentaire me va droit au coeur et j’espère que cette douleur disparaîtra et bien évidemment si je peux vous y aider ce sera avec plaisir.